Cette formation de quatre jours vous propose de découvrir et de pratiquer les principes de base en écopédagogie pour développer vos animations. Ces principes sont applicables sur tout type d’animation, même celles qui n’abordent pas l’environnement, la nature ou l’écologie. Cette formation est une invitation à apporter un coup de frais sur sa manière d’animer !

Comment animer un groupe sur le terrain ? Quelles techniques d’animation mettre au service de la découverte et de l’apprentissage ? Comment stimuler la participation individuelle et la mobilisation collective ? Quelle place pour l’environnement dans mes animations ? Comment s’adresser à tous et à chacune ? Comment aborder une problématique complexe ? Comment prendre plaisir dans les apprentissages ?

Animer un groupe, c’est d’abord y mettre une âme, mais pas seulement. L’écopédagogie a été développée au fil du temps, avec une solide assise pédagogique en toile de fond et des valeurs fortes qui se réfèrent à l’éducation permanente : démocratie, émancipation sociale et culturelle, esprit critique, engagement citoyen. Dès la petite enfance…

Objectifs

• Découvrir et comprendre les fondements de l’écopédagogie.
• Se situer dans les finalités de l’écopédagogie.
• S’approprier des repères et des outils liés à l’écopédagogie :
  ◦ les comprendre, les transférer (donc les transformer ou en créer de nouvelles versions adaptées à ses publics et contextes)
  ◦ expérimenter : faire vivre, faire travailler et repartir avec
• Se constituer chacun.e un éventail, un couteau suisse (boite à outils).

Méthodes

Loin du modèle académique, les méthodes de formation sont fondées sur la participation de tous à l’expérimentation concrète d’animations, suivie d’un partage du vécu et d’une articulation souple avec des notions théoriques.

Les principes de l’intelligence collective sont mis en œuvre : apprendre les uns avec les autres et les uns des autres, pour enrichir ses représentations et développer des compétences nouvelles.

La majorité des activités aura lieu en extérieur, en s’appuyant sur le patrimoine naturel présent, qu’il soit urbain, semi-urbain ou rural.