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Outil pédagogique

Le VIVANT qui se défend

Le VIVANT qui se défend

Vincent Verzat filme les mobilisations écologiques depuis 10 ans sur la chaîne YouTube Partager c’est Sympa (310k abonné·es). Partant d’un récit personnel et sensible, le film “Le VIVANT qui se défend” retrace son cheminement entre militantisme et naturalisme, sa recherche d’un équilibre entre combat et contemplation, traçant un chemin pour vivre dignement et affronter ce qui vient. Des luttes forestières du plateau des Millevaches à la tanière d’une famille de blaireaux, en passant par les méga bassines du Poitou, les cerfs du Vercors et l’autoroute A69, “Le VIVANT qui se défend” fait le lien entre les animaux sauvages et les luttes qui sont menées partout en France contre la destruction de leurs habitats. Le film trace un chemin pour vivre dignement et affronter ce qui vient.

Avis et conseil d'utilisation

Comment s’engager pour la défense du vivant, toujours plus menacé, sans s’épuiser ou se démoraliser ? La réponse : en combinant combat militant et contemplation de la nature. C’est en tout cas celle du vidéaste français Vincent Verzat dans son documentaire Le vivant qui se défend, disponible gratuitement sur Youtube, après une tournée réussie dans plusieurs cinémas belges et français. 
Partant d’un récit personnel et sensible, le journaliste militant – connu pour sa chaine Youtube Partager c’est Sympa (+ de 300.000 abonné·es) – nous emmène dans ses pas, des résistances forestières du plateau des Millevaches à la tanière d’une famille de blaireaux, faisant le lien entre l’observation émue des animaux sauvages et les luttes qui sont menées partout en France contre la destruction de la nature. Il nous rappelle que la crise écologique est aussi une crise de la sensibilité, un manque d’attention à l’égard de ces espèces qui se cachent dans nos interstices territoriaux et horaires. 
Notre conseil : regardez ce film ! C’est une belle façon de réfléchir, seul·e ou en groupe (par ex. avec l’aide de l’outil et la formation d’Ecotopie, Les saisons de l’engagement), à notre lien au vivant et de nous donner l’envie (et les façons) de le protéger. Puis de poursuivre en s’engageant, par exemple, dans les associations environnementales et les collectifs citoyens (Extinction Rebellion, Occupons le Terrain…) qui luttent près de chez nous. C.D.